La coupe de Sylvie

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il y a 4 ans

J’ai connu Sylvie lorsqu’elle avait 18 ans, à l'époque j’en avais guère plus et j’en suis tombé amoureux fou. Sylvie avait alors de longs cheveux bruns lui tombant jusqu’en bas du dos qui encadraient un visage fin d’un ovale presque parfait, grande, fine, il se dégageait d’elle une sensualité folle.

Elle avait alors peu d’expérience dans le domaine de l'amour, j’avais pour ma part peut-être connu d’autre filles mais jamais encore une aussi belle, d’origine italienne je sentais bien le feu qui bouillonnait en elle.

Au fur et à mesure que nous faisions l'amour sa sensualité s’épanouissait de plus en plus, il nous en fallait toujours plus et nous avons multiplié les expériences, de l'amour classique nous étions passé à des jeux plus coquins, fellations, sodomie, mais tout cela restait encore bien sage, sa sensualité devenait débordante et je pouvais aller de plus en plus loin avec elle, je lui ai alors bandé les yeux en lui demandant de me laisser faire tout ce que je voulais. Je l’ai caressée longuement, passant mes mains sur tout son corps, sur ses seins aux pointes sombres et très érigées, sur son sexe perdu dans une forêt de poils drus et noirs, je l'ai aussi longuement léchée, dans le creux de ses reins agrémentés de deux superbes petites fossettes, remontant vers sa nuque tout en dégageant sa lourde masse de cheveux, mais elle bougeait trop.

Le fait qu’elle ait les yeux bandés décuplait son plaisir et elle ne pouvait s’empêcher de gesticuler dans tous les sens, je suis alors allé chercher des bas et l'ai attachée aux montants du lit, les bras tendus vers la tête les jambes bien écartées maintenues à chaque pieds du lit, elle ne pouvait plus bouger, je voyais son sexe à travers sa toison s’ouvrir et se refermer, comme un appel à la possession, ce que bien sur je me suis empressé de ne pas faire, je voulais faire durer ce plaisir le plus longtemps possible, chaque fois que je sentais sa jouissance monter, je m’arrêtais pour la rendre encore plus folle de désir, mais aussi pour la soumettre à tous mes caprices.

Depuis un certains temps je trouvais sa toison trop fournie, je lui en avais déjà parlé mais elle ne voulait pas la sacrifier, elle les aimait bien ses poils longs soyeux et fournis et puis elle craignait que ça la pique par la suite, j’ai donc profité de cette séance pour de nouveau lui demander de raser ses poils pour moi, de toute façon si elle ne voulait pas je continuerais à lui faire attendre le plaisir sans jamais lui donner. Elle en devenait folle, elle se débattait dans tous les sens et plus elle bougeait plus ses liens se resserraient, Sylvie m’a alors traité de tous les noms, salaud, pourri, tu n’as pas le droit de me faire ça, elle m’a supplié de la faire jouir, de venir en elle, mais rien à faire j’attendais une autre réponse, je jouais avec elle comme un chat avec une souris.

Et puis las, elle m’a dit : « allez vas y, fait le si tu veux, mais t’as intérêt à pas me laisser dans cet état ». Je n’en croyais pas mes oreilles, je me suis précipité dans la salle de bain où était rangé ma petite tondeuse à barbe, j’ai pris mon rasoir, mon blaireau, la mousse enfin tout le nécessaire et suis revenu dans la chambre. Sylvie était toujours attachée, les yeux bandés, je l'ai de nouveau caressée pour faire remonter le plaisir puis ai mis en route la tondeuse, le ronronnement la fit un peu sursauter et j’ai senti sa respiration s’accélérer. Une plainte sorti de ses lèvres lorsque j’ai posé le métal froid de la tondeuse sur son pubis mais au fur et à mesure que ses poils tombaient, les vibrations de la tondeuse faisaient leur office, Sylvie se contenait de moins en moins, sa plainte s’est transformé en râle et au moment ou je me suis mis à passer la tondeuse sur ses lèvres tout doucement pour ne pas la blesser ce râle s’est alors mué en un formidable cri de jouissance comme elle n’en avait encore jamais eu.

Puis j’ai pris le blaireau et lui ai passé la mousse sur tout le sexe doucement, lentement, presque sadiquement, sa jouissance n’en finissait pas elle en devenait presque douloureuse et j’ai fini de la raser avec le rasoir, cela avait l’air de faire un peu retomber son excitation je l'ai ensuite nettoyée avec un peu d’eau, froide bien sur, ce qui pour effet de la faire encore sursauté puis j’ai admiré mon travail, son sexe était superbe, une longue fente d’ou ses petites lèvres dépassaient d’un ton un peu rose v i o l acé mais surtout très ouvertes à cause de son long plaisir. Je lui ai ensuite longuement léchée je dirais même mangé se sexe qui me fascinait puis me suis allongé sur elle pour la prendre enfin fortement, v i o l emment presque brutalement pour finir dans un cris de jouissance commun qui nous laissa exténué.

Depuis ce jour nos relations ont changées, Sylvie est devenue de plus en plus soumise, elle voulait souvent que je l'attache, que je lui fasse l'amour plus v i o l emment, elle ne voulait plus que je la prenne par derrière mais que je l'encule, elle aimait se repaître de mots grossiers, ce qui évidemment n’était pas pour me déplaire, dans ces moments je lui tirais ses longs cheveux en arrière pendant que je m’enfonçais fortement dans son fondement, plus j’était brutal, plus elle était soumise et plus elle jouissait fort.

Nous étions entrés dans une spirale ou le plaisir prenait de plus en plus d’importance, son pubis restait dorénavant toujours impeccablement lisse je m’appliquais à lui passer régulièrement la tondeuse, ce qui lui procurait autant de plaisir et pourtant cela ne suffisait pas. Un jour nous sommes passés devant un tatoueur et nous avons regardé à la vitrine les différents dessins et photos qu’il y avait, j’ai alors senti que nous pouvions passer un stade supérieur et l'ai entraîné chez ce tatoueur, là sans vraiment lui demander son avis j’ai choisi un superbe papillon et ai demandé au tatoueur de lui réaliser sur le pubis, ce qu’il fit, Sylvie était à la fois mal à l’aise et en même temps très excitée, se livrer ainsi nue devant un étranger était pour elle difficile, malgré cela elle se laissa faire et le résultat fut superbe.

Le papillon lui couvrait complètement son mont de vénus, on avait l’impression que le corps était son sexe d’où partaient les ailes, c’était d’une indécence et en même temps d’une beauté folle. Une fois le travail terminé le tatoueur me dit qu’il réalisait aussi des peircings je ne mis pas très longtemps à réfléchir et lui dit qu’il pouvait lui poser un anneau à chaque petites lèvres, là encore quelle merveille, ce sexe parfaitement lisse avec le tatouage et les anneaux dépassants de ces lèvres était un appel au v i o l .

De retour chez nous, nous avons fait l'amour comme deux fous mais pas trop v i o l emment car son sexe était quand même un peu douloureux.

Le sexe papillon de Sylvie nous a encore procuré beaucoup de plaisir, je m’amusais toujours à le tondre régulièrement mais aussi à tirer sur ses anneaux, à lui mettre des petits poids pour étirer ses petites lèvres qui de ce fait devenaient de plus en plus longues, Sylvie était aux anges et moi aussi par la même occasion.

Un jour ou j’était seul j’ai loué une cassette d’un film « érotique » qui s’intitulait « La Bonzesse » où l’on voit l'héroïne qui après s’être livrée à toute les turpitudes de l'amour se rase le crâne pour entrer dans un monastère bouddhiste, cela lui donnait une beauté étrange et excitante, j’en ai été profondément marqué et me suis masturbé pour arriver à une jouissance extraordinaire. De ce jour je me suis promis de faire subir à Sylvie le même traitement et suis allé acheter une tondeuse à cheveux, celle servant pour son sexe était trop petite.

Je me gardais bien de lui en parler pour lui en faire la « surprise », j’attendrais pour réaliser cette tonte un jour où Sylvie serait dans un état d’excitation tel que cela ne pourrait que lui procurer un plaisir encore plus intense, et puis j’avais aussi trop peur de sa réaction si je lui en parlait avant.

Ce jour vint enfin, nous avions fait l'amour « normalement » mais Sylvie n’était pas vraiment rassasiée, il lui en fallait encore et elle devenait même insupportable, je lui ai alors dit qu’elle méritait une punition, bien sur elle connaissait mes punitions et savait que celle ci se terminerait dans une superbe jouissance mais elle ne s’attendait certainement pas à ce que j’allais lui faire subir.

Je l'ai attaché à un tabouret les mains dans le dos, lui ai bandé les yeux et l'ai encore longuement caressée, toujours en stoppant les caresses au moment crucial, puis j’ai pris sa longue chevelure et l'ai fait passée sur tout son dos mais aussi sur ses seins en insistant bien sur les pointes qui s’érigeaient de plus en plus. Je me suis dis qu’avec son bandeau sur les yeux ça risquait d’être difficile de réaliser ce que j’avais prévu, je suis donc allé chercher de la gaze avec du sparadrap, elle fut bien sur un peu étonnée mais elle commençait à être habituée à mes manies, je lui mis donc cette gaze sur les yeux fixés avec le collant, puis lui ai longuement caressé ses cheveux, j’étais évidement de plus en plus excité je dirais même fébrile, Sylvie, elle se demandait bien où je voulait en venir surtout lorsque je lui attachais les cheveux avec un élastique assez serré au niveau du crâne, j’avais en effet décidé de garder cette longue queue de cheval, je pensait bien pouvoir m’en servir par la suite, ne serais-ce que pour la « fouetter » avec ses propres cheveux. Elle pensait certainement que je voulais lui tirer très fortement cette queue de cheval pendant qu’elle prendrait mon sexe dans sa bouche.

Bien sur qu’elle allait prendre mon sexe dans sa bouche, j’étais donc debout devant elle et lui présentais mon sexe, bien bandé, j’ai pris alors la paire de ciseaux qui était sur la table à côté et lui ai appliqué entre l'élastique et son crâne c’est à ce moment qu’elle commença à comprendre, lorsqu’elle sentit le froid de la lame qui passait dans ces cheveux, je pense qu’elle en fut terrorisée mais en même temps son excitation était dans un tel état d’avancement qu’elle continuât à me sucer goulûment, peut-être pensait-elle que je n’irai pas plus loin, j’ai alors refermé les lames des ciseaux qui ont crissé dans cette longue chevelure, et la queue est tombée au sol en glissant dans son dos, la respiration de Sylvie s’est alors accélérée fortement ses narines se sont pincées, elle n’y croyait pas j’avais osé couper cette chevelure superbe qui devait bien faire 80 cm de long, ces cheveux dont elle était si fière mais comme je l'ai dis précédemment Sylvie tirait sa jouissance de la soumission que je lui faisais subir et elle sentait bien que nous franchissions encore un pas supplémentaire dans cette soumission.

Je pris ensuite la tondeuse sur laquelle il n’y avait aucun sabot et la mis en route, son bruit lui fit comprendre où je voulais en venir et lorsque je posait le métal froid de la lame sur sa tempe un long frisson la parcouru, ce frisson lui descendit jusque dans le bas des reins à mesure que la tondeuse remontait sur ses tempes faisant tomber ses cheveux encore assez long, puisqu’ils lui arrivait sous les oreilles, la tondeuse faisait des grandes trace blanche sur son crâne ne laissant derrière elle qu’un léger duvet qui ne devait pas faire plus de 0.5mm. Sylvie avait de plus en plus de mal à se contenir, sa succion devenait saccadée, elle tremblait de tout son corps de peur mais aussi de jouissance, je continuais malgré tout ma tonte par l'autre tempe puis retirais mon sexe de sa bouche, de toute façon Sylvie n’était plus capable de me sucer correctement tellement elle était dans un état second, et lui fit baisser la tête pour commencer à la tondre dans la nuque, son excitation gravit un palier supplémentaire, les vibrations dans la nuque la firent presque entrer en transe elle me disait sans cesse « arrêtes, arrêtes, je n’en peu plus, tu es fou, c’est trop bon » ce que je ne fis bien sur pas, je n’allais pas arrêter en si bon chemin.

Je continuais donc sur le sommet du crâne et bientôt il ne restait plus un seul cheveux, son crâne était parfaitement lisse, seul persistait ce très léger duvet qui l'ombrait légèrement. Avec un gros pinceau à maquillage je lui enlevais tous les petits cheveux qui restaient ça et là, puis je me suis penché sur son crâne chauve pour le lécher en partant de la nuque pour remonter sur le sommet, je suivais le même chemin qu’avait suivi la tondeuse, le contact de ma langue chaude et humide sur le crâne de Sylvie acheva de faire monter son excitation et elle eue une jouissance encore plus forte que lorsque je lui avait rasé son sexe, une jouissance qui me dira t-elle plus tard est venue de très loin, du plus profond d’elle, faite de peur, de plaisir, une jouissance à la fois physique mais aussi morale quelque chose d’indescriptible.

Je pus enfin lui retirer ses gazes qu’elle avait sur les yeux, elle était en larme, jamais elle n’avait connu une jouissance si intense, qu’elle était belle, je ne voyais plus que ses yeux superbes, brillants de larmes qui ressortaient de l'ovale parfait de son visage, il dégageait d’elle maintenant cette beauté étrange que j’avais vu dans l'héroïne du film mais avec une animalité supplémentaire qui la rendait encore plus désirable. Nous sommes embrassés puissamment longuement avec une fougue incroyable et pour la remercier de s’être laissé faire je lui ai fait l'amour en ne pensant qu’à son plaisir, doucement, tendrement ce qu’elle aime aussi après la v i o l ence.

Sylvie est quand même allée se voir après coup dans la glace de la salle et si elle eu du mal à se reconnaître le reflet que lui renvoyait son miroir ne la choquât pas, depuis Sylvie passe régulièrement sous ma tondeuse, environ tous les deux mois et aime toujours autant les vibrations de ce qu’elle appelle ma seconde maîtresse.

Thierry Le-Faivre

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